Si douces
sont tes promesses suggérées.
Mon étranger.
Mon inaccessible
moment de passion.
Tu me cajoles ;
tu me rejettes.
Nous ne pouvons
nous posséder
que dans des rêves fugitifs :
tous deux si différents
si totalement autres
et pourtant …
si merveilleusement
en harmonie.
L’implacable fantasme
est plus que la somme
des parts de réalité.
Je te vois partout ;
dans les pas des étrangers …
dans mes souvenirs.
Glissant depuis la taille,
lentement, jusqu’aux orteils
puis, avec la violence d’un éclair
l’on remonte, tout en haut,
pour ensuite
découvrir ton visage
insignifiant.
Mon étranger.
Ma passion.
Mon étranger …
Si doux.
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